Au premier jour de sa visite officielle, le Air
Max 90 premier ministre a affiché sa sérénité, tant sur les relations franco-chinoises que sur son avenir à Matignon.
Envoyée spéciale à Pékin
Fatigué par le décalage horaire mais plutôt serein sur la façon dont s'est déroulée sa première journée en Chine. «Ce que j'ai ressenti, c'est ce climat très positif», confiait jeudi soir Manuel Valls aux journalistes français. Avec le premier ministre chinois Li Keqiang, «il n'y a pas de langue de bois», ajoutait-il en vantant un «dialogue équilibré» entre la France et la Chine. La conversation semble également avoir été très nourrie. C'est avec plus d'une heure et demie de retard que le premier ministre est arrivé à l'ambassade de France pour rencontrer la communauté française. En cause, des échanges puis un dîner plus longs que prévus avec son homologue chinois. tn pas cher Valls juge celui-ci «sympathique» et «chaleureux». Li Keqiang fut effectivement plus que courtois. Au cours de leur conférence de presse commune, le premier ministre chinois a pris soin de souligner que Valls était le tout premier chef de gouvernement étranger à être reçu par lui depuis le début de l'année. Les deux hommes dîneront encore ensemble vendredi. «Il souhaite construire une relation», veut croire Valls.
Terrorisme, droits de l'homme, déséquilibre des échanges commerciaux entre les deux pays, situation de la Grèce et de la zone euro. Les deux dirigeants ont balayé de nombreux sujets au cours de leurs discussions. Parmi ces dossiers, l'investissement conjoint dans des pays tiers - en Asie et en Afrique. «La Chine a les financements, la France a les technologies», résume Valls en évoquant des projets ayant trait à l'énergie et aux transports. Nike
TN Sur les enjeux climatiques, il est en revanche beaucoup plus réservé. «On sait, dit-il, que le chemin.
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