En visite vendredi matin à la Cité interdite, le Tn
Pas Cher premier ministre s'est dit «concentré sur sa tâche» et n'a pas voulu commenter un sondage qui le place au second tour de l'élection présidentielle, là où François Hollande ne passerait pas le cap du premier tour.
«Il fait froid mais c'est magnifique». Le thermomètre affichait moins cinq degrés quand Manuel Valls a visité vendredi matin la Cité interdite. C'est la toute première fois qu'il s'y rend. Entouré de Laurent Fabius et de Jean-Marie Le Guen, sous un soleil d'hiver rasant, le premier ministre a déambulé pendant une heure dans l'ancienne résidence des empereurs chinois qui jouxte la place Tiananmen: le palais de l'harmonie, la chambre de noces des couples impériaux, le trône de l'empereur... Il s'est imprégné de ce «lieux exceptionnel que tout le monde connaît».
L'immersion a sans doute été facilitée par TN Requin la privatisation d'une partie de la Cité, débarrassée pour l'occasion de ces nombreux groupes de touristes chinois qui visitent chaque jour les lieux. «Ici, nous sommes dans un lieu d'harmonie. Elle me remplit. Elle nous remplit tous et doit nous éloigner des questions sans intérêt», a-t-il déclaré, sous l'œil amusé des ministres présents. Loin de Paris, Valls n'a pas souhaité commenter ses bons sondages, notamment cette enquête CSA pour RTL qui donne Manuel Valls au second tour de la présidentielle de 2017 alors que François Hollande n'irait pas au-delà du premier tour. «Je suis concentré sur ma tâche. Les symboles ne sont pas à l'égard d'un homme mais d'une équipe», a réagi le premier ministre. À un journaliste qui lui demandait si ce déplacement en Nike
TN Chine n'était pas celui d'un chef d'Etat, il a répondu: «Non, c'est la visite d'un chef de gouvernement». Il a ajouté: «Il ne faut jamais succomber à ces pièges». Puis, Valls s'est engouffrer dans sa limousine.
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