dimanche 17 juillet 2016

Bono dînait en terrasse à quelques mètres du lieu du drame

Le soir du 14 juillet, Bono était à Nice où il profitait de la soirée sur la terrasse d'un restaurant. ? La petite maison ? est un restaurant huppé de Nice. L'établissement re?oit régulièrement des personnalités de tous horizons. Le soir du 14 juillet, l'endroit était plein à craquer. En terrasse, le chanteur de U2, Bono, d?nait tranquillement à quelques mètres d'autres personnalités comme Eric Dupont-Moretti, l'avocat de Karim Benzema ou encore le cuisinier Alain Ducasse. Une soirée comme les autres pour Anne-Laure Rubi, propriétaire de ? La petite maison ?, qui ne s'imaginait pas ce qui allait se passer à quelques mètres de son restaurant, sur La promenade des Anglais. Jointe par téléphone par Le Parisien, elle a expliqué le déroulement de cette nuit tragique, qui a fait au moins 84 morts et provoqué un choc à un niveau international. ? Soudain je vois des gens courir, sans crier. C'est un affolement silencieux, c'est impressionnant. Du restaurant, nous n'avions entendu aucun coup de feu. ? Venant de la mairie, le président de la région Provence, Christian Estrosi, était alors au restaurant, discutant avec des clients. ? Par réflexe, j'attrape Christian Estrosi par le bras et lui demande : "Qu'est-ce qu'il se passe ?" Il était au téléphone, il faisait "oui, oui,Nike Ninja ah",Tn Pas Cher la mine fermée. Je crois qu'il était en train d'apprendre la nouvelle de l'attentat. ? Anne-Laure Rubi a expliqué au quotidien qu'elle avait alors fait rentrer ? tous les clients ? à l'intérieur de l'établissement. S'en est suivie une longue attente, où les rumeurs prennent le pas sur la raison. Les clients commencent à parler de plusieurs tireurs,Tn Pas Cher sortis d'un camion et qui seraient poursuivis par la police dans les rues de la ville. Finalement, les forces de l'ordre, lourdement armées, viennent évacuer les clients du restaurant. Les mains sur la tête, Bono et ses compagnons d'infortune ont ainsi rejoint la place Massena, sous protection policière, avant de découvrir l'ampleur du terrible.


 

comment deux policiers et un adjoint de sécurité ont abattu le tueur

Comme Le Point.fr le révélait le 15 juillet, ce sont de simples gardiens de la paix, membres d'une brigade spécialisée de terrain (BST), qui ont abattu le tueur au volant de son semi-remorque le 14 juillet sur la promenade des Anglais. Voici le récit de leur intervention, selon le procès-verbal que l'AFP a pu consulter. Postée à l'angle de l'avenue de Verdun et de la promenade des Anglais, une équipe de la brigade spécialisée de s?reté ? une femme et deux hommes ? observe les nombreux spectateurs prendre le chemin du retour. Ces deux gardiens de la paix et un adjoint de sécurité sont chargés de ? sécuriser la promenade conformément au service d'ordre ?,Requin Tn raconte l'un d'entre eux dans le PV. Ils re?oivent alors un appel radio leur indiquant qu'un camion a percuté des passants. Ils sont appelés rue des états-Unis. Très vite, un deuxième message radio les informe que le poids lourd se trouve sur la promenade des Anglais. Les trois policiers remontent en courant la célèbre avenue. Face à un des deux gardiens de la paix ? se trouve un camion accidenté ?. ? Il était arrêté, l'avant du véhicule complètement arraché. Il n'y avait plus de capot moteur ?,Nike Tn raconte-t-il. Derrière, sur plusieurs mètres et sous le camion, ils voient des personnes au sol, du sang, et entendent ? les pleurs et les cris ?. ? Je n'ai pas tout de suite compris ce qui se passait ?,Nike Tn reconna?t le gardien de la paix.


 

mardi 12 juillet 2016

WHY SOME BERNIE SANDERS'S VOTERS REFUSE TO SUPPORT HIS HILLARY CLINTON ENDORSEMENT

For months—for some since Super Tuesday—Hillary Clinton's supporters in politics and media have insisted that Bernie Sanders accept reality, accept defeat, and concede the Democratic nomination to Clinton. On Tuesday, he did just that. The primary is over. But rather than savoring the victory, several prominent members of the media spent the day ferreting out pockets of resistance, searching for Sanders supporters—from delegates to journalists to private Facebook users—who did not accept their candidate's embrace of a system he had vowed to dismantle, and holding them up as sore, petulant losers, for public mockery. Tn Pas Cher Subscribe now - Free phone/tablet charger worth over $60 Let us set aside, for a moment, that these holdouts represent a considerable minority of Sanders voters. Let us set aside that their already small numbers will dwindle over the next few months. Let us set aside that Clinton partisans have spent the better part of a year accusing Sanders's overwhelmingly young base of juvenile hero worship only to treat it as even more childish when those same supporters show signs of breaking with their purported hero. After all, the grievance was never with any particular attitude of young left-leaning Democrats, so much as those voters insisting on a hard price for their support. Let us set aside also the fact that Clinton and her supporters won, and won handily, and there is something strange in looking at a major symbolic milestone in that victory and ridiculing every little place it's not complete; that for all the talk of sore losers, these may be the sorest winners in the world. Tn Requin I want to ask a more basic question: What is the relationship between candidates and constituencies supposed to be? The position of the Sanders holdouts is straightforward: Bernie Sanders campaigned for a host of policy positions significantly to the left of the Democratic mainstream. More broadly, Sanders campaigned against the political system that produced Clinton's positions, one that, in his view, gives a disproportionate and corrupting influence to monied interests and rewards political leaders willing to service those interests: for example, Clinton. 0712_Bernie_Sanders_endorses_Hillary_Clinton_01 Democratic presidential candidate Hillary Clinton looks on as Vermont Senator and ex-rival Bernie Sanders endorses her at a rally in Portsmouth, New Hampshire, July 12. His support came more than a month after the end of the Democratic primary season. BRIAN SNYDER/REUTERS Nike Tn While Sanders extracted some limited (and questionable) concessions from Clinton on a few of those issues, he was largely unsuccessful. On bank regulation, universal health care, Israeli apartheid and others, the more moderate Clinton positions remain intact. Then, by endorsing Clinton, Sanders conceded the larger point: Political revolutions have their limits, and it was now time, in his view, to unite and defeat Donald Trump. Given all of this, the Sanders holdouts would seem to have a perfectly coherent reaction: Sanders was only a vehicle for their political values. Now that he has conceded his fight for those values, he should be abandoned as a vehicle. Clinton supporters treat this as only the latest in a long line of tantrums, but isn't this the healthy attitude toward candidates? You vote for someone who represents something acceptably close to your values, and then you move on. What's the alternative? One alternative, of course, is the politics of teams above values, a politics where voters do not select representatives so much as leaders, where principle plays a role but a role subordinate to loyalty; that is, a politics of deference and trust. The goal is to win. The goal is to believe that your support is not something to be won, but to be given as a precondition to the attention of the powerful. This is the style of politics that cannot fathom refusing to follow the direction of a leader. This is the style of politics that cannot fathom abandoning that leader, no matter her shifting values, no matter her past, no matter how much these things may contradict your own purported dreams. You win first, then you trust your leader to deliver. Some might call this style of politics hero worship. But hero worship, as we've been told, is only for the petulant and the childish.